18 août 2015
Les estives perdues
Les estives perdues
Du temps que je faisais
Mon plus haut métier d’homme
J’allais couvert d’enfants
Comme un roi couronné
Le soir sous les étoiles
On écoutait le feu
Confidencer sa flamme
Jusqu’au cœur de nos cœurs
L’alpage est retourné
A l’abandon des ronces
(Et mon cœur inutile
Dans sa prison d’épines)
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Mercredi 05 Août 2015
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Plus de libres pairies,
De forêts sans frontière
Les flics ont tout conquis,
Ou bien les bulldozers...
O mon troupeau de graines libres...
( ) dans ces bocaux stériles !
Lundi 07 Mai 2017
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